« Siyin » et « Shosho », deux représentations dans le cadre du Festival cette année, ont laissé le public ébahi devant tant de spontanéité et de création. Le jeu de corps, la musique, l’appropriation…
« Siyin » et « Shosho », deux représentations dans le cadre du Festival cette année, ont laissé le public ébahi devant tant de spontanéité et de création. Le jeu de corps, la musique, l’appropriation de l’espace, chaque…